Dans le projet de loi de Finances 2013, le gouvernement compte maintenir
l'effort d'investissement sur les secteurs sociaux notamment la santé,
l'éducation et le logement social, a affirmé le ministre délégué auprès du
ministre de l'Economie et des finances chargé du Budget, Driss El Azami El
Idrissi.
"Sur l'investissement public, nous avons deux axes de travail: maintenir l'effort sur les secteurs sociaux (santé, éducation, logement social) et travailler sur la rentabilisation des investissements existants" par exemple les zones industrielles, agricoles et touristiques, a dit M. El Azami dans un entretien au quotidien +L'Economiste+, publié mercredi.
Selon le ministre, "la dépense publique ira dans ce sens puisqu'il ne suffit pas de réaliser des investissements physiques, mais il faut les commercialiser et les rentabiliser".
Pour ce qui est de l'appui au secteur privé, il a précisé que des mesures seront prises pour financer et appuyer l'industrialisation, et ce via l'accompagnement et le financement de la formation, l'infrastructure et la logistique.
Les PME bénéficieront, à leur tour, de l'appui du gouvernement en matière de commercialisation de leur production, particulièrement à l'international, a-t-il ajouté, assurant que les aspects de défense commerciale seront développés "pour permettre à l'entreprise d'être compétitive".
"Sur l'investissement public, nous avons deux axes de travail: maintenir l'effort sur les secteurs sociaux (santé, éducation, logement social) et travailler sur la rentabilisation des investissements existants" par exemple les zones industrielles, agricoles et touristiques, a dit M. El Azami dans un entretien au quotidien +L'Economiste+, publié mercredi.
Selon le ministre, "la dépense publique ira dans ce sens puisqu'il ne suffit pas de réaliser des investissements physiques, mais il faut les commercialiser et les rentabiliser".
Pour ce qui est de l'appui au secteur privé, il a précisé que des mesures seront prises pour financer et appuyer l'industrialisation, et ce via l'accompagnement et le financement de la formation, l'infrastructure et la logistique.
Les PME bénéficieront, à leur tour, de l'appui du gouvernement en matière de commercialisation de leur production, particulièrement à l'international, a-t-il ajouté, assurant que les aspects de défense commerciale seront développés "pour permettre à l'entreprise d'être compétitive".
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